Une température idéal

Une température idéal
le paradis sur terre

mardi 24 mai 2011

De SanCristobal, Chiapas, Mexico a Qetsaltenango Guatemal nord ouest

Le 10 mars 2011

Me voici depuis le 1er mars a San Cristobal de las Casas au Chiapas, Mexique, près du Guatemala, ville vivante avec son centre historique datant de 1546. Cette ville ou je ressens en sentiment de joie et de plaisir de vivre. Cette ville culturelle et vivante avec tous ses habitants internationaux et locaux ou le coût de la vie est incroyablement abordable. Le $ est à 12.22 pesos. C'est aussi le monde des Mayas entourant la ville. Il y a aussi sa capital Tuxtla Gutierrez, a 45 minutes. Une ville très prospère.

Voilà, je loge à l'antenne de la Posada Abuelito, ( grand-père. Charmante auberge. Les propriétaires une mexicaine et un américain de père et grand-père maya mexicain Depuis deux ans ils ont aussi un commerce sur la rue commercial la Guadeloupe. kitsch & Bagel. Un café bar et boutique. A l'auberge je loge dans une chambre confortable, draps de bain, serviette, évier en coin en terre cuite, porte française, salle de bain, douche en céramique tous neuf, accès a la cuisine collective pour concocter ses repas, un petit salon avec foyer qui est aussi la réception, télé, film, jardin avec un puits rustique et Wifi inclus...... 15 jours 100$. ! Absolument incroyable. Reste à découvrir le quartier et ses commerces, Café terrasses, parc central et place d’armes.. . Déjà je connais le marcher central, les églises et les parcs, plus de douze quartiers dans cette ville de 90,000 habitants. Tant de possibilité a y demeurer, bien que le prix des aliments dans le centre historique soit plus élevé, il y a toujours des prix très bas dans les cartiers tout prêt.

Bien des étrangers y vivent. Des italiens, français, anglais, ayant commerce sur rue: et des québécois aussi bien sur. Déjà, j'ai rencontré deux québécois qui y vivent, ayant marié une mexicaine et ayant une auberge dans le cartier.

Artistes, musiciens, et autres infortunés viennent y trouver refuge pour quelques semaines voir quelques mois pendant la saison sèche. Et bien oui! Tout n'est pas parfait. La saison des pluies n'est pas des plus facile a ce qu'on dit. Il fait même assez froid en novembre, vu l'altitude a laquelle la ville est située. Mais il n'y a qu'a prendre un minibus et descendre vers la capital, a 45 minutes de Sancristobal et là, c'est la chaleur des tropiques.

Ce matin je suis assis au café terrasse, le Yik Café, situé sous l’arcade. Yik , qui veut dire, le meilleurs. Le trottoir en terrasse de dix pieds de large avec clôture en fer forgé, face au parc central de San Cristobal. Le soleil est présent et a dix heures du matin le temps est encore frais. Toujours les vendeuses mayas viennent nous solliciter avec leurs artisanats sous le bras et dans les mains.

Le parc est ensoleillé et le va et vient des gens est tard en ce dimanche matin de mars. J’écoute les échanges a la table voisine. Une américaine parle français avec deux autres. Elle a une maison et un terrain ici a la ville de San Cristobal.

Voila un café latté chaud, et je me décide à visiter le parc de la petite cathédrale situe sur la petite montagne, au centre de la ville, a quinze minutes d’ici. Je découvre que cette montagne ou colline est au centre de la ville elle est quatre fois plus petite que le mont royal.

16 mars
Un matin a la capital.

Bien ce matin là il fait froid a Sancristobal, Chiapas, Mexico. 14 degrés et je me suis dit, tiens je vais au capital, Tuxtla Gutiérrez. Je prends donc un mini bus neuf de 15 places a la station de bus, a 10 minutes de l'auberge. Un billet a 4$ et je pars pour la capital. Arrivé en 55 minute au centre ville près d'une immense Plazza de quatre cents pieds carré en marbre gris. Il fait 32 celcius. Cette ville est située dans une plaine a 1000 mètres plus bas. Waow! Je ne porte que mon t shirt il fait chaud et ensoleillé. Cette ville a.500, 000 de population.

Je suis bien aise de cette chaleurs, 32 C°. Je fais donc le tour de la Plazza central immense comme un champ de football et je me dirige vers le parc de Marimba. Un parc de style colonial avec en son centre un grand gazebo colonial, comme a Sancristobal ; aussi, de grands arbres et des bancs en fer forgé et tout autour, la rue est les cafés, restaurants et boutique.

Tien! On offre de visiter le fameux canyon situe à 15 minutes de la ville. Le départ est à une heure et il est midi. 20$, bon j'attends une heure et je bouffe un peut et je décide. Un tacos suisse, et un verre de lait de riz froid offert par le resto. Et je suis prêt pour la randonnée. Je paye mon passage.


Et c'est parti. On est 3 et oups.. On monte dans une vieille Chevrolet Malibu 1979 dépeint et ronronnent. Une minoune quoi! . My gâch !!! Je me dis, on va pas monter sur la montagne avec ça pour voir un canyon d' en haut pour vingt piastres?

Mais non! Le chauffeur est mécanicien de métier et travail a temps perdu pour ce service de transport touristique. Il adore les vieilles voitures et compte remettre cette voiture a neuf.

Pour la promenade : il nous sort de la ville, une ville de 500 milles habitants avec un seul gratte-ciel de 20 étages donc une ville très étendue ; après avoir traversée un grand pont au-dessus d'une large rivière, nous tournons à droit et descendons vers un embarcadère très vaste avec une grande plateforme en ciment avec grande marche entrant dans l'eau. Des dizaines de personne attendent pour embarquer dans l'une des embarcations ressemblants a ceux du lac Atitlan au Guatemala. Donc, un groupe de français est devant nous; il monte à bord d'un bateau. Dix embarcations de 25 et 35 places avec de puissant moteur de 115 a 200 CV. Me voila embarqué avec un groupe de gens du local et national et c'est parti pour 2hr et demis. Oui 2hr et demis. Incroyable.

Nous démarrons en lion sur cette immense rivière et a grande vitesse, en repassant cette fois-ci sous l'immense pont en arche, filant vers l'entrée des gorges de la rivière pour enfin arriver aux premières hautes falaises de roche de chaque cote de la rivière.

Premier arrêt près d'une colonie de vautours noirs du Mexique, approchant à près de dix pieds, des centaine de vautours sur la berge en pente, formé de pierre blanche, entrant dans l'eau. Quel beau contraste: puis en route vers le centre du Canyon.

Nous arrivons maintenant en face de la plus haute falaise de roche du canyon. Plus de mille mètres de haut vertical comme un i. Incroyable. Je me sens si minuscule au milieu de cette rivière entre la falaise géante de ce fameux Canyon.

Nous poursuivons, et le capitaine nous invite à regarder au loin a droit dans des arbres en bosquet près de la rive, rare bosquet formé sur les chutes de pierres et de terre, créant ici un lieu propice a la pousse de la végétation et des arbres. Il y a dans ces grands arbres, des petits singes, Mono, noir dont 2 avec leurs petits sur le dos, sautant de branche en branche, venant vers nous afin de nous observer tout en se nourrissent de fruit des arbres. Il sont à au moins 200 pieds au-dessus de nous, ils sont une vingtaine. Quel beau moment ?

Et en route vers le creux du canyon, glissant à toute vitesse sur cette rivière immense et profonde ou le vent provoque des vagues. On peu apercevoir des cormorans, hérons blanc et hérons gris. Nous arrivons près d’une sorte de cavité dans le mur du roche au une hauteur de soixante pieds, une sorte de grotte ou on y voie un genre d’autel dédié a la madone Guadeloupe, emblème et protectrice du Chiapas et de toute l'Amérique centrale, première sainte originaire de l'Amérique centrale. Fleur, statue, encens. Étrange ce lieu.

Nous poursuivons vers le Nord toujours a grande vitesse, tout le groupe de vingt-cinq est ravi avec notre ceinture de sauvetage. Nous arrivons à un lieu magique face à une paroi en une forme sculptée appelée l'arbre de Noël. Il s'agit d’une formation en pierre créé par l'infiltration d’eau donnant un aspect d’un arbre et ses branches ressemblant à un sapin gigantesque, pareil a des panaches d'orignal a l'envers, arrivant jusqu'à toucher l'eau. Cet arbre de roche est haut d'une dizaine d'étages. Et sur la pointe de cette sorte d’arbre une formation rocheuse donne l'impression d’une étoile. Quelle vision sublime rejoignant mes racines canadienne et québécoise ?

Ensuite, En route vers le réservoir d’eau qui arrive au barrage hydroélectrique qui alimente toute la région en électricité et en eau. Quelques ruines mayas et un voilier d’oiseau. Mais aussi un crocodile : oui le crocodile est l'emblème du canyon. Il y en a beaucoup semble t'il.

Après un ravitaillement en gazoline, nous voila repartis en sens inverse: Le retour vers l'embarcadère a toute vitesse, durant une heure, refaisant le trajet inverse. Quelle aventure ! Je ne m'attendais pas a cela. Bingo.

Il et quatre heures et je ne veux pas retourner à Sancristobal tout de suite, donc le conducteur de la Malibu me laisse à de pas de l'embarcadère pour prendre un taxi collectif pour me diriger vers Chiapas de Corso, une ville a cinq kilomètres vers l'Est. Une ville banlieue cette petite ville en son centre est superbe sont parc central est immense. Restauré sous la présidence de Vincente Fox qui fut aussi le gouverneur du Chiapas. Au centre du parc il y a la plus vieille construction du Chiapas. Un gazébo avec toit en brique construit en 1528. dans sa forme le toit représentant la couronne d’Espagne et l'église catholique sous Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon, Rêne et roi d’Espagne. Près du parc une rue se dirige vers la rivière. Il y a des commerces de produit artisanal et des boutiques. Le tout est bien ordonné comparé à bien d’autre endroit. Je suite le village a bord d' un minibus qui m'emmène sur le bord de la grande autoroute ou la il y a un arrêt de bus pour aller vers Sancristobal de Las Casa. Je retourne à Sancristobal vers six heures a bord d’un mini bus a 15 places que j'ai signalé sur le bord de la route arrive à la station d’autobus le chauffeur ne m'a pas demandé de payer. Même je suis revenu en lui jetant un regard et là il n'a pas réagis alors je suis reparti et je me suis dit comme je reprends le bus demain. Je verrai.

lundi 11 avril 2011

San Pedro lac atitlan 11 avril

San Pedro,le 6 avril, vue sur le lac, de la fenêtre du studio, a la Villa Cuba.


Quelle belle trouvaille que ce petit studio-maisonnette totalement indépendant du bâtiment.  Je loge a l'antenne de la Villa Cuba tenu par un pur cubain noir comme le fond d' un chaudron avec sa femme guatémaltèque mais blanche.
Devant la baie vitrée il y a une terrasse avec table ronde tout en céramique  et  trois banc en ciment. Il y a un jardin de légumes d' un côté  et un jardin de fleurs en plateau descendent a trois cents pieds plus bas, atteignant la plage et le lac. La vue est imprenable avec la baie vitrée  faisant la moitier du studio.   Les planchers sont tous en céramique beige-crème  . Il y a deux marche pour arriver au niveau de la cuisine et de la chambre. Le mur autour du lit et en pierre. Les fenêtres  de la baie vitrée sont en  en bois. Toute les fenêtres s'ouvre, avec moustiquaire. Même la porte d' entrée en a un. Un évier , un poêle au gaz sur le  comptoir en céramique blanche en L et un petit frigo .  Le lit a double matelas confortable . Une étagère en métal a trois niveau sur roulette. Ils mon offert une télé car il y a le câble. Elle est installé sur l'étagère. Une chambre de bain avec  lavabo, toilette et douche,avec eau chaude. J'ai installé le iPad sur la petite table en bois vernis collée sur la baie vitrée.C'est la que je vais écrire un peu ces prochains jours. 

La villa est situe a moins d'un kilomètre du centre de San Pablo. Au pied du volcan . En fait,l'hôtel, comme tout les autres maisons autour,  est a flan de montagne du volcan puisque la base du volcan va directement dans le lac. Un volcan éteint bien sur. Ce qui veut dire que je suis a bonne hauteur pour voir le lac et tout les villages et les montagnes en face de l'autre côté de la baie de San Juan.  Le jardin d'ognion en étage tout a coté de l'hôtel. 


   Six heure du matin J'ai bien dormi.  Le soleil est fort. Ce sera une chaude journée. Je suis allé marcher le long de la plage. Les travailleurs arrosent les plateaux de légumes en tirant l'eau du lac avec un générateur a gazoline. Un bon moteur et un boyau de trois pouces de diamètre. Il y a tout le long de la rive des dizaines de jardin en terrasse. Ils cultivent ici surtout l'oignon mais aussi le choux et le radis.

Avec la petite maisonnette, Je crois avoir trouvé l'endroit pour le reste du temps, ici, avant le retour au Québec. Un lieu en retrait. Je prendrai ce temps pour faire un bilan en quelque sorte sans rien m'imposer. Et puis aussi comme une préparation après six mois en voyage.

Le lendemain. 

Me voila a San Marcos pour l'après midi . J'ai récupérer les tapis de paille et autre choses que je revend sur la place central. J'ai déjà  vendu le gicleur et la machette. Et quelqu'un est intéresse au tapis alors tout vas bien et puis je suis content de voir Herman  au magasin central, et puis lui aussi. Bon les enfants viennent d' arriver. Je les connais. Ils sont gentils et ils passent la journée dans le village et retourne a la maison tard le soir.  Je leurs est donne un biscuit sec. C'est ce qu'il m'ont demandé. 

Le vent c'est levé et le soleil est toujours de la parti  j'ai bu une bière il est 14 hr 51. Je dois décider ce que je fait maintenant. J'ai tout ce qu'il me faut dans mon sac a dos pour faire la cuisine ce soir a la maison. Je par en direction du quai de San Marcos. Je sui le trottoir et essais de vendre les tapis ainsi que les deux petit tapis de bain. 

En fait Pascal, du centre de massage Vitalis,  a acheté les deux petit tapis. Puis je part  prendre le bateau pour San Pedro . Suner l'allemand est a bord avec tout ses bagages. En parlent et me dit qu'il vas vivre a San Pedro et ouvrir un commerce a la place du bar, Le Freedom, qui a fermé. Je lui propose mes tapis, il les prends tout de suite pour le commerce. J'ai donc tout vendu. Je suis allé prendre un café au Cristallinas avec Luis le propriétaire de la brulerie, et nous avons projeté de lui crée un site internet pour son commerce. Nous avons regarder le site de l'Auberge du Marchand a Maria et le site de la Villa Cuba ou j'habite. Un spécialise vas venir le rencontrer. Ce spécialiste je l'ai rencontré a San Marcos hier, tout en blanc et très sympathie. Je lui est suggéré de passer au Café Cristalinas  a San Pedro et rencontrer Luis le propriétaire.

Il est 7.43 ce matin du 8 avril  je viens de descendre vers le lac et j'ai rencontré une anglaise d' un certain âge avec un accent délicieux.  Elle loue le studio en haut de la Villa Cuba. Elle danseuse contemporaine. Elle a pris son bain dans le lac. Je compte bien le faire aussi.  Encore une fois de ma fenêtre  la vue sur le lac est superbe. J'écoute Diana Crawl.

ce matin je me fait a déjeuné. Et c'est fait. Je peut continuer a écrire.

Dimanche 10 avril 17.30

  Je viens de vivre une forte expérience il y a 30 minutes. Je revenais vers mon hôtel par la plage. Tout le long il y a  plein de guatémaltèque Maya, en se dimanche. Ils se baigne et  font la lessive direct dans l'eau. J'arrive alors  a côté d' une décente  en pierre loin des gens de la plage. Une décente   de trois marche qui vas a l'eau. Je vis un corps inerte face contre terre dans l'eau a 2 pieds du rivage en bas des marches. Le jeune homme est là, mort noyer. Un homme est avec moi très perturbé par la vue du corps inerte. C'est lui qu'il l' a vue le premier. Nous voyons bien qu'il y a au moins un bon moment qu'il est mort. Quoi faire. L'homme avec moi a un cellulaire. Je lui suggère d' appeler la police immédiatement. Il dit qu'il n'a pas de temps d'appel. Je lui dit qu'il peut faire le123 gratuitement. Je suis certain que l'homme dans l'eau en costume de bain c'est heurté a une pierre et c'est évanoui et est mort noyer. Aurais 'je pu l'aider en le sortant de l'eau et lui faire la respiration artificiel? 

Il semblais trop tard et je n'avais aucune réaction, et je voulais absolument contacter la police, si elle pouvais venir rapidement. Mais ici est ce la police ou l'ambulance ou je ne sais qui.  L'accident c'est produit  a cinq minutes de la route près de dizaine de gens le long de la plage qui n'ont eu aucune connaissance de se drame. Un petit mur en pierre et une descente de trois marche empêchais de voir le corps du jeune homme. Je suis rapidement  partis avec l'homme au cellulaire vers des hommes qui se reposais en haut prêt d' un jardin de légume tendissent que d' autre personne arriver près du lieu de l'incident. Personne ne sais quoi faire. Je suis le seul étranger sur place. Nous réussissons a rejoindre la police et les hommes plus haut arrivent. Un des hommes reconnait l'homme qu'il avais vu se dévêtir sur la plage et allé a l'eau il y a environ vingts minute selon lui. Il était émotif et triste de ne pas l'avoir remarqué avant. Personne ne veut toucher au corps et je quitté  le lieu pour aller vers mon hôtel a quelque minute de la. Je parler au propriétaire de mon 'hôtel de se qui se passe sur la plage. Un moment plus tard je vois des gens arriver au loin et sortent le corps de l'eau. Je retourne rapidement sur le lieu de l'incident. Je vois bien que c'est la famille qui on sorti le corps de l'eau et pleurent a chaude larme tentant de le réanimer. Mes en vain, la mère ne pleure pas et l'essuie avec une serviette. Le frère prend le corps sur son dos  et toute la famille suis en pleurant.  La mère ne pleure pas.  De l'eau vaseuse sort de la bouche du corps. C'est un accident bête. Quel triste histoire.  

Ils habitent a deux pas d' ici. Et moi je quitté les  lieux et partagea l'histoire a une famille sur le bord de la plage près de la montée vers mon studio. Quant je leurs est dit que la famille avais emporté le corps, ils me fi comprendre que c'était mieux ainsi car cela couterais très chère a la famille, la police,l'investigation, l'ambulance etc. Quelle étrange organisation. Je retourne au studio et j'écris tout ça.
Plus tard en prenant une marche sur le chemin près du la villa Cuba  , je tenté de percevoir la famille endeuillé en vain. Je vis un curé en robe noir parlant a des gens.Il attend  un taxi. En me voyant il me tendis la main en me saluât. Je ne pu m'empêcher de lui parler de l'accident. Il ne savais rien de l'accident et demande au gens s' ils étaient au courant. Une femme lui donna l'information je crois. Le curé me remercia de l'informer et partis en taxi vers la ville. Je crois que le curé se devais de savoir ses informations. Probablement il pourra aider la famille a traverser cette dure épreuve. Quant a moi je retourne a mon studio. Voila pour cette histoire. 

Cette nuit il est minuit et je ne dors pas.  Je regrette de ne pas avoir eu de réaction face a la situation d' hier. Lorsque j'était devant l'homme gisant dans l'eau. J'aurais pu rapidement le sortir  de l'eau et tenter de le réanimer. Peut être que cela ne faisais que quelque minute que l'homme était inconscient. Je suis a pense que je ne suis pas centré ni dans pensée, parole, action. Passer a l'action rapidement sans penser. Rien d'autre que de passer a l'action pour la vie qui veut être. Je regrette. Mais je laisse passer. Je passe a autre chose. Il est trop tard maintenant. André tu est amour et lumière et tu apprendra a nouveau sur ta route d' éveil, sur ton chemin de lumière. Tu saurais agir différemment.  

mercredi 26 mai 2010

L'arrivé au Guatémala

Dire que j'avais déjà visualisé mon arrivé au Guatemala en regardant sur Youtube, une vidéo montrant par le hublot du 767, l'arrivé sur la piste d'atterrissage.Je n'ai aucune inquiétude aucune peur mon cœur et mes sentiments me rend confient dans ma joie.Nous avons passé une nuit a Guatemala Cité et dîner au café d'une ONG parrainé par des Canadiens. Le CECI ( Centre d'étude et de coopération internationale) dirigé par M Carlos Martinez Gaudens, coopérant volontaire ici dans la capital du Guatemala. Il a passé un an a Ottawa pour en formation par le CECI. Ce fut notre première trouvaille dans notre exploration du quartier historique de la ville, la zone1, ou premier arrondissement.

Au hasard nous avions passé Noélla et moi, par un grand portail d’un édifice en apparence ordinaire. Mais Quelle surprise nous fumes en accèdent à l'intérieur, et de constater que ce sont des canadiens qui sont à la source de cet ONG : la CECI.Un bâtiment de style colonial espagnole du 18 me siècles restaurés. C'est le Cartier général du CECI. Une grande galerie entourant une court mi- jardin mi- stationnement. Cette galerie est comme sous une arcade couverte. Il y a des tables pour le restaurant Le Café Cerventez. Là ont nous sert des repas complets a 3 dollars. Ils offrent aussi des produits équitables et biologiques. Cela reste un cadre pour les Québécois ou canadien qui souhaite être volontaire dans un encadrement sécurisant. Moi je ne souhaite pas vivre une expérience de ce genre. Je veux explorer et trouver ma propre voie dans la découverte de ce pays.Puis nous nous sommes diriger vers Antigua, l'ancienne capital situé a quarante cinq minutes de Guatemala Cité. La ville la plus visité de l'Amérique Central. Belle, joyeuse, chic et pour toute les portes- feuilles.

Janvier 2010 Le chalet ou la cabine a San Marcos sur Le lac. A notre arrivés sur la place centrale a San Marcos nous avons pris contact avec les gens qui occupaient le chalet que nous avions réservé. René de Carufel, professeur venue avec un groupe d’étudiant. Il est aussi photographe professionnelle. Le tout premier photographe rencontré, car j'en ai rencontré bien d'autres et des plus intéressants.Quelle surprise et pas surpris non plus a l’arrivée a San Marcos, sur les rives du lac Atitlan. Le chalet a été réservé par Internet. C'est pourquoi je me suis retrouvé à San Marcos du lac Atitlan au Guatemala. Ce chalet nous a permis d’être comme chez sois, bien installées et a bon prix partagé a deux. Puis j'ai quitté la maison ou le chalet pour une maisonnette a un prix ridicule. Ce nouveau logis est à l'intérieur d'un jardin entouré d'un mur de six pieds de haut fait de Pierre ou de bambou. Il y a une autre maison sur ce terrain c'est possible que ce soit elle que je loue à mon retour a l'automne prochain.Enfin un lieu de tranquillité, tout seul et très heureux de l'être, pour enfin entreprendre ma découverte a ma façon, a mon rythme. Mon cœur trépigne de joie.


Chaque moment est magique bien que je me sois fait de bons amis étrangers de passage ou vivant ici. Je souhaite avoir des liens avec la communauté indigène Maya. Là aussi il faudra du temps dans l'apprivoisement. C'est ma joie et ma générosité de cœur qui fera le travail. Je n'ai qu'a être disponible, dans la mesure ou je suis nouveau ici et dans leur milieu, leurs rues, leurs églises et leur manière de vivre d'être et de pensé.

jeudi 6 mai 2010

Dans le séjour a San Marcos Guatemala Mars 2010

Carnet de route C'était en février. Le temps est claire et sec. Il fait 22 degré ce matin. Il ne pleut pas depuis deux mois. Je prend un bon café. frais fait maison. Un café cultivé là a San Marcos. Il y a plusieurs plantations de café éparpié dans le village, dans la partie prés du lac Atitlan. Ont les découvres derrière un bâtiment, ou près de l'église avoisinant le stade de soccer. Émême derrières le petit hôtel privé. J'écoute" Amsterdam " la musique du groupe Coldplay.

Lorsque j'ai aquéri le iPod Touch en décembre dernier, en m'ouvrant un compte avec Apple Store sur Internet, j'ai téléchargé, sans m'en rendre compte, toute la musique de l'ordinateur de mon ami Pierre André a Montréal. Et se fut un plaisir de découvrir ses chansons et musiques que je ne connaissais pas. Alexandre Desillets, Susie Arioli, Coldplay, Soulika chant traditionelle d'Europe de l'est. Un petit déjeuné au Magnanita de l'Auberge Akulash c'est magnifique. Diégo, le serveur et jeune chanteur kac'chiquel de la place, aime bien la musique que je met. il adors Coldplay. La musique donnais une embiance feutré amenant a la détente, aprécier des gens ravie de ce retrouver dans cette terrasse magnifique dans la chaleur matinal.

Chaque jour ,après une marche le long du lac Atitlan, si paisible de bonne heure , je me retrouvais ici, au Café Magnanita. Une terrasse élevé a douze pieds de hauteur érigé sur le toi de la cuisine du restaurant. La place et organisé de plusieurs table en bois avec banquette recouverte de coussin. Certaine table son des tranche de tronc d'arbre immence.Tout autour, un grand bac a fleurs, comme en un seul morceau , a hauteur du nombril, rempli de fleurs plante arômatique et autres herbes pour la cuisine. De plus, des grand arbres avec leur ombre rafraichissante avec les hautes branches au feuillage abondant s'étalent tout autour.

Chaque matin ont peut observer le va et viens des colibris, bourdonnant près de nous, butinant les fleurs d'abutilon( Érable de maison ) surplombant le pourtour de la terrasse. C'est un jeune allemand qui gère le commerce. Une trentaine d'année, élevé au guatémal par ses parent et reparti au états unis il a décidé de faire de se coint de pays son pays. Il les cheveux noir bouclé. In visage d'ados très expressif. Un gars très serviable et avenant. ILe matin il arrive parfois très émèché car il aime fêter très tard le soir. Dès neuf heures du matin le solei est três chaud. Il faut mettre un chapeau de paille ou un casque ou se garder la tête a l'ombre. En premier je choisi une limonade a la menthe verte. Quelle délice. Il semble que l'on a broyé les feuilles de menthe fraiche avec du jus de lime et du miel ajouté a de l'eau fraiche. Il ya comme un colet de mousse verte sur le dessus du brevage. Mmm,délicieux et rafraichissant.


C'est le jeune Fabrice,freak allemand, qui m'invita a goûter cette limonade. Il a trente ans, beau blond platine, les cheveux mi-court dru. Ce beau blond, férue de tout ce qui concerne les traditions maya rituel cérémonie et aurtout la vompréention de la totalitée du fondement de leurs fâmeux calendrier. Ce calendrier a été reconu par nombre de cientifique comme le plus précis jamais créé par l'humain Fabrice pouvais, a l'aide de la date de naissance, me donner le nom de mon signe astral maya ainsi que son influence sur la journée actuel. Et dans le temps présent passé et futur. Son père serais un grand scientifique ayant travail pour Airbus en Europe et la NASA au États Unis." Tu es du signe du jaguar " iish " en langue kac'chiquel Maya. La force du jaguar représente le signe le plus fort et le symbole maya par exélence. Capable de souplesse, de vitesse incroyable et de camouflaflge magestueux le jaguar est le plus puissant des animesux de la mitologie Maya. Il se retrouve sur un des plus beau bas-relief a la base d'un des plus beau temple Maya retrouvé dans les forêt de la péninsule du Youcatan,au sud du Mexique. Dans le bas relief,Le jaguar est le symbole royal.


Je m'enui un peu de Fabrice. Il a une copine Mexicaine en ce moment . Elle est amoureuse folle de lui. Une vraie jaguar séduisant langoureuse et tré extraverti. Lui , biensur, il en rayonne comme jamais, comme si un cadeau lui était tombé du ciel. Ça arrive quelque fois mais combien de temps cela durera?J'allé brancher le iPod sur la prise a une des tables de la terrasse et choisis un morceau de musique relax qui plaisais toujours. Le style jazz de Susie Arrioli, la musicienne et chanteuse de Montréal.


Je suis dans une joie constante a prendre plaisir a vivre. A cette terrace il ya a toujours une rencontre imprévue qui rendra la journée joyeuse . Ce matin c'est un couple d'américain. Dans la cinquantaine, ils sont photographes artistique contemporain. Ils créé des œuvres enssemble et expose ensemble. Elle , Clara, est une très belle femme, radieuse avec toujours un sourire irradiant des cheveux blond double ton et une mise en plis naturel. Et lui, Frank, discret et observateur, avec un chapeau en paille noir, cheveux gris poivre ,mi- long. Il a lui aussi beaucoup de conversation et adore partager ses connaissances.Après s'être croisé plusieurs fois, aujourd'hui fut l'ocasion.

Venu le moment d'échangé et découvrir le côté artiste que nous avions en commun.Le fait d' être en liberté du voyage, il me semblais toujours qu' il ya une joie profonde d' être dans ce pays merveuilleux, sur le bord du lac Atitlan au Guatemala et que nous nous exprimions que dans un plaisir partagé.

jeudi 22 avril 2010

La Mercedes.

Le dimanche des rameaux

Je suis dans l'église de la Mercedes. L'extérieur est de couleur jaune crème avec des détails baroque peints en blanc. Il est 9 hr, La cérémonie va commencer. L'église est pleine, c'est parti. Les gens circule caméra a la main. Il y a aussi les bouquets de rameau avec la tressée et le brin de blé et le brin de la fleur de palmier qui est appelé le corotin.elle vient de la cosse grande de quatre pieds.Je suis maintenant sortie de l'église. La procession va commencer le cortège sortira de l'église car tout est près.La télévision locale est-la.

La cour de l'église est pleine. Sauf l'espace réservé au cortège entouré de gendarmes costumés en romain il y a aussi les serviteur en robe mauve pareille au vêtement arabe d'Arabie Saudit et le foulard blanc sur la tête cintre d'un ruban mauve, pareille au vêtement arabe d'Arabie Saudite. Ils sont prêts a remplacer les porteurs de la balustrade. Ailleurs, le long du parcours quelques personne s'affaire à terminer les tableaux créés sur le pavé. Il sont fait de fleurs, de plantes gardées humides en arrosant avec de l'eau car il fait chaud aujourd’hui a Antigua. Je me rends conte que je suis au première loge. Des femmes et leur famille, de San Antonio Polopo du lac Atitlan, son venu voir le cortège de ce dimanche. Elle son toujours vêtues avec les vêtements de textiles bleus royaux.Le cortège sort. Plus de cents personnes soulèvent le plateau en bois illustrant Jésus transportant la croix.

Comme une grande estrade avec des anges et Dieu assis portant les tables de la loi Pour amoindrir le poids ils balancent le cortège a rythme régulier sur une musique de fanfare ! Cette estrade en bois d'ébène pèse deux tonnes.Deuxième tableau, la Mercedes. Une couronne d'or, une Cape noire de la tête au pied et son ange protecteur avec ses ailles d'or. Il est 9hr15 pm, et le parc central est plein de monde. Les rues sont piétonnières pour l'occasion de la pâque. Le Café portal avec son grand bar en ovale est ouvert plus tard est c'est bien pratique pour tous.Une autre procession a 10hr30 pm. Tous sont ici pour cette journée de célébration. Tout le peuple du Guatemala est au rendez-vous.

Le dernier soir a Antigua Guatemala, attablé au restaurant, tenue par des français, appelé, La Lune de Miel, je paye avec la carte Visa car je n'ai plus de quetzal et demain il me faut des dollars américains pour les bagages car j'apporte pour 350 dollars de produit textile produit par les Mayas dans la région du lac Atitlan ou j'ai passé .


andré dit Atrish en Kac'Chiquel ,la langue Maya de San Marcos du lac atitlan

mercredi 21 avril 2010

Mon retour

Voilà 'nous sommes le vingt marsEt dans 9 jours je serai dans l'avion pour le canada mon pays. Et le 21 mars Dernière semaine a San Marcos.Je me sens dans un drôle d'espace. La fin d'un parcourt. Le vide se présente Cet espace d'entre deux ou se sème la semence de ce qu'il adviendra dans les prochains jours. Un nouvel élan de co-création avec la vie se présentera chaque matin qui apparaîtra.Les bagages se précisent, la semaine est payer chez Augustin et Patricia.Je prends un déjeunez au Moon Fish. Omelette et café. Plein de monde et d’américain provenant de partout. De New York a la Californie. De l'Hoio au Minesota, de New Hampshire au Texas , du Nouveau Mexique au Colorado , de l'Uta au Michigan, du Montana a la Floride. Qu'il est grand ce pays qu'est les USA ?Moi le Canadien, le Québécois, le gaspésien, le gars de la Baie des Chaleurs. Le chemin devant cette trace maintenant vers le Québec, mon coin de pays ou le printemps se dessine avec ses gens que je connais. La Gaspésie et Maria pour aller au café Forêt Noir ont Maria et voir mon amie Sylvie et le gens du matin. Je me voie raconter mon périple mes histoires, mes rêves mes idées nouvelles, les nouveau projet de création de voyage et de rencontre. Hé oui. D'autres rêves surgissent. Visiter la Tailande, aussi aller au Pondichéry en Inde. L'ancien comptoir de commerce français Passer 2 mois au Caire en Égypte, des séjours en Algérie ou au Maroc.Trouver les solutions financières. Le commerce de produit du Guatemala pour payer les frais de voyage23 marsJ'ai le goût du français de me retrouver au Québec' parler français avec tout le monde échanger avec le sentiment francophone. Vivre profondément qui je suis avec la langue française ma différence culturel. Je suis gaspésien dans ma profonde expression.24 marsAvec tout ce bagage culturel qu'est mon identité, je repartirai sur les chemins du monde, m'installer quelque part pour quelque temps partagent sans prêcher ni nier mon identité par amour par fraternité.Que de beauté intérieure que ses voyages a façonner dans l'argile de mon âme les plus belles expression d'amour et de conscience
N'est crainte ? Déjà des prospectes pour l'adoption. Très. Positif. Je reste confient
Voilà que le vent du retour se lève. Ce vent du retour qui est plutôt une continuité par delà les expériences, un vent toujours nouveau qui souffle sur mes voiles blanches de mon astronef intérieur. Un vent de couleur soufflant sur mon âme voyageuse, créatrice de chaque instant.Ben oui. ! Le vol du retour est pour le 30 mars. Je rapporte dans mes bagages un nouveau paysage nourri de lac, de montagne de soleil et de gens et du peuple Maya, d'amis et d'expérience nouvelle de manière de vivre, de penser et de voir le monde.Encore un matin ou le soleil réchauffe doucement le pays des Mayas, mon pays d'adoption de mon cœur mon âme et mon esprit.